Les Twilight Force viennent de révéler la lyric-vidéo de « Queen Of Eternity ». Il s’agit d’un extrait de leur nouvel album, « Dawn Of The Dragonstar », sorti ce vendredi via Nuclear Blast !
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Fractal Universe : Nouveau clip
Les Fractal Universe viennent de dévoiler « Rising Oblivion », leur nouvelle vidéo. Le morceau est extrait du dernier album en date du groupe, « Rhizomes Of Insanity », sorti le 19 avril dernier.
Diamond Head : Nouveau clip vidéo animé !
« The Coffin Train », nouvel album des Diamond Head, est sorti le 24 mai dernier via Silver Lining Records.
Vidéo de « The Coffin Train » :
Baroness : Nouveau morceau disponible !
« Throw Me An Anchor » est le titre de ce nouveau morceau inédit de Baroness. Il s’agit d’un extrait du prochain opus du groupe, « Gold & Grey », dont la sortie est prévue pour le 14 juin prochain via Abraxan Hymns.
Tracklist :
01 – Front Toward Enemy
02 – I’m Already Gone
03 – Seasons
04 – Sevens
05 – Tourniquet
06 – Anchor’s Lament
07 – Throw Me An Anchor
08 – I’d Do Anything
09 – Blankets Of Ash
10 – Emmett-Radiating Light
11 – Cold Blooded Angels
12 – Crooked Mile
13 – Broken Halo
14 – Can Obscura
15 – Borderlines
16 – Assault On East Falls
17 – Pale Sun
« Seasons » :
« Borderlines » :
Artwork :
[INTERVIEW] Etienne (Shaârghot) : « La bête […] est décidée à en découdre »
Après un court EP qui a su faire patienter les fans, Shaârghot revient enfin avec un deuxième CD, « Vol II : The Advent of Shadows » ! Etienne, chanteur du groupe et porte-parole de la bête, nous en dit un peu plus sur cet opus tant attendu (et c’est le cas de le dire !)
Réalisée par email – Merci à Roger Wessier pour sa compréhension
Metal-Actus : Hello, comment se porte ce cher Shaârghot depuis l’année dernière ?
Etienne (chant) : Salut à toi ! Alors la bête se porte bien, elle est au max de sa forme, pas spécialement contente et décidée à en découdre, du coup autant te dire que les shows sur scène ne vont pas aller en s’arrangeant haha !
Vous aviez annoncé que le deuxième album exploserait dans tous les sens, mais je ne pensais pas voir la créature et son armée de Shadows prête à conquérir le monde. Quels seront leurs obstacles pour parvenir à leurs fins ?
Je ne sais pas si le mot «conquérir» est approprié lorsque tout ce que les Shadows laissent derrière eux n’est cendre et désolation (et les échos lointains de rires hystériques). Actuellement les Shadows sont de plus en plus nombreux et commencent à sortir des sous-sols de la Cité Ruche pour y souffler un parfum de chaos. La Cité Ruche est en proie à des luttes internes et l’organisme gouvernemental / Industriel despotique «The Great Eye» sait qu’une guerre civile est imminente. La population des bas-fonds commence à se rebeller et les Shadows pourraient faire clairement pencher la balance en faveur de la révolte.
Les Troopers du G.E sont la principale force de maintient de l’ordre, on a pu en voir dans Break Your Body et vous risquez bien de croiser ces sinistres sbires dans pas mal de nos clips… dans le prochain aussi d’ailleurs…
D’ailleurs le dindon présent sur la pochette (si c’est bien ce que j’identifie) passera-t-il entre les mailles de leur filet ?
Bien vu pour le dindon haha !
Y’en a qui observent ça fait plaisir !
Le dindon c’est une sorte de private joke que j’aime placer un peu partout ! Celui-ci s’appelle Sam d’ailleurs, il est cool ce dindon, on s’est inspiré de lui lorsque l’on a tourné notre dernier clip, car il y avait un vrai dindon nommé Sam qui nous rendait visite tout les jours ! Il était parfait, tout ce qu’on attend d’un dindon en fait, repoussant, agressif, mal foutu et doté d’une arrogance et d’une suffisance à en faire pâlir d’envie tout nos hommes politiques ! Donc je ne sais pas trop si ce dindon survivra aux autres mais tant qu’il y aura des dindons il y aura de quoi faire rire le Shaârghot, et c’est pas forcément une mauvaise nouvelle !
On retrouve les titres de l’EP sur l’album. On remet donc le « biscuit » qu’était l’EP à sa bonne place dans l’album ?
Pour moi cet EP était une «bande annonce» de ce qu’allait être le futur album avec le petit bonus qu’etait « Bucolikiller ». Donc oui c’était clairement voulu que ces morceaux ré apparaissent dans « The Advent of Shadows ».
Que peux-tu me dire sur le titre d’ouverture, « Miss Me? » ?
Le titre commence par des coups donné au sol, si ça ne vous dit rien, c’est les coups qu’on donnait avant une représentation au théâtre pour prévenir le public que le spectacle allait commencer. En gros c’est une invitation à quitter le monde réel et à entrer dans notre univers… le reste du morceau en soi est plutôt cinématographique, il montre pour moi l’éveil des Shadows. Vous pouvez imaginer sans trop de souci cette masse grouillante et ricanante s’extirpant du sol pour enfin sortir à l’air libre, les alarmes, les sons de plus en plus saturés, tout est fait pour montrer que le danger approche, et ça se confirme avec «black wave» qui est pour le coup un raz-de-marée de noirceur sur la ville. «Miss me ?» est aussi un morceau du Shaârghot ironique destiné au Great Eye qui a engendré cette créature par erreur. Shaârghot se décide à sortir de terre pour leur rappeler son existence et leur mettre leurs erreurs sous le nez.
Que peux-tu me dire sur « Kill Your God », un de mes titres préférés de l’album ?
«Kill Your God» est une locomotive autodestructrice, chargée d’explosifs lancée en pleine allure sur les fondements de l’idolâtrie. Le Shaârghot a un sérieux problème à régler avec la hiérarchie, et plus particulièrement avec les choses auxquelles les gens se raccrochent pour vivre. Ces derniers vivent dans des rêves, ils «idolâtrent» quelque chose car ça donne un sens à leur vie qui est le plus souvent quelconque, et la plupart du temps ces «idole » usent et abusent de leur pouvoir pour manipuler ces gens. Idoles ou objets d’ailleurs, tout ce qui est bon pour pervertir la populace en fait. Le Shaârghot cherche à mettre tout ça à bas et tant pis si il y a des dommages collatéraux, il s’en fiche, pour lui ça ne rentre pas dans l’équation, son manque d’empathie fait que de toute façon il détruira dans une rage aveugle tous ceux qui se dresseront contre lui pour défendre ces «idoles» que se soit pour de bonnes, ou de mauvaises raisons.
Ce n’est pas forcément mes convictions et ma façon de voir les choses d’ailleurs, mais lui oui, et c’est à lui que je laisse la parole ici héhé !
Peux-tu nous en dire plus sur ce « mystérieux » clip en préparation, dont on voit les images sur Facebook ?
Je peux en dire un peu plus effectivement… ce clip sera différent des autres car nous avons décidé qu’ il était temps de laisser un peu de place au court métrage dans nos clips, il y a tout un univers qui gravite autour du Shaârghot et au final les gens ne savent pas trop où cette histoire se passe. Nous allons donc un peu mieux présenter cette Cité Ruche et y introduire de nouveaux personnages qui ne sont pas forcément des Shadows, mais qui pourraient revenir dans d’autres clips pour faire avancer la narration… Mais le clip en lui même vous montrera la transformation complète d’une personne en Shadow, le lien qui unira l’hôte et le parasite. Nous allons assister à la mort de quelqu’un et à sa renaissance, le tout dans un genre de grand bad trip glauque et sensuel. Donc ne cherchez pas les coups de battes gratuits ce coup ci, il n’y en aura pas, mais nous avons d’autres choses à vous montrer qui j’espère vous plairont !
Et si tout se passe bien le clip sort ce mois ci !
Ah et contenez vos larmes à propos des coups de battes, c’est prévu qu’on en redonne dans le clip suivant, faut quand même pas perdre les bonnes vieilles habitudes non plus…
Au niveau de la tournée, à part les dates annoncées sur Facebook, avez-vous d’autres projets ? Notamment à l’étranger ?
On a toujours des projets en cours haha !
J’ai même commencé l’écriture du prochain album mais je vais prendre mon temps pour le sortir celui là, on va donner un peu de temps au deuxième album héhé… Sinon pareil on a les yeux tourné vers les prochains clips et pour ce qui est de faire des dates à l’étranger on négocie, on aura des choses à annoncer très bientôt !
Un dernier mot autre que « dindon » ?
Oui … « Hippopotomonstrosesquippedaliophobie » Je trouve ça assez génial de nommer la phobie des mots trop long avec un mot qui lui même explose le score au Scrabble ! Bon j’aurais pu dire » Anatidaephobie » qui est la peur que quelque part, d’une façon ou d’une autre, un canard vous observe mais j’aurais préféré que ça concerne les dindons alors c’est tout de suite moins chouette.
Memoriam : Nouvelle lyric-vidéo !
Les Memoriam viennent de dévoiler la lyric-vidéo de « Shell Shock ». Il s’agit du premier single de leur nouvel album, « Requiem For Mankind », prévu pour le 21 juin prochain via Nuclear Blast.
Tracklist :
01 – Shell Shock
02 – Undefeated
03 – Never The Victim
04 – Austerity Kills
05 – In The Midst Of Desolation
06 – Refuse To Be Led
07 – The Veteran
08 – Requiem For Mankind
09 – Fixed Bayonets
10 – Interments
[INTERVIEW] Yann (Balls Out) : « La musique, c’est comme une fête »
Balls Out. Outre un nom un brin tendancieux (et ça se vérifie, vous allez le voir), ce groupe se paie une ascension fulgurante pour son jeune âge ! Première partie de Clutch, des concerts couronnés de succès, le Hell Session … et tout ça avec un seul EP en poche ! A l’occasion de la sortie de « Let Me In (I Know Someone Inside) », on a pu interviewer Yann Vautrin, guitariste du groupe! Et en voilà le résultat (spoiler : c’est hautement savoureux)
Metal-Actus : Je voudrais pour commencer revenir sur le nom de votre groupe, « Ball Out ». Est-ce une référence cinématographique ?
Yann Vautrin (guitares) : Non rien de tout cela. Et il y a un album de Steel Panther qui s’intitule « Balls Out » mais ça ne vient pas du tout de là ! Alors en fait, ça remonte aux tout débuts du groupe : on avait une petite conversation Facebook où on se parlait tous les quatre. Et on était là « Putain les gars, il faut qu’on se cherche un nom, qu’on se trouve un nom » . Et je crois que c’est Pat, notre chanteur, qui nous a dit « Allez les gars, sortez vos couilles, mettez vos balls out » et on lui a répondu « cherche pas plus loin, on l’a » ! Cela montre qu’on a des couilles, que nous aussi on peut les sortir sur la table et montrer de quoi on est capable !
Vous êtes né en 2016 près de Nice. Peux-tu nous expliquer la création de ce projet ?
Et bien avec Pat, le chanteur, ça fait longtemps qu’on se connaît, on avait même un groupe ensemble à l’époque. Le groupe s’étant arrêté, on avait fait un peu de musique chacun de notre côté, mais rien de concluant ni de trop foufou. Et en 2015, on a repris contact et on s’est dit que ce serait cool de refaire de la musique ensemble. Et on a rencontré Sony, notre deuxième guitariste en me comptant, qui a répondu à notre petite annonce sur internet, et il nous a dit qu’il connaissait un batteur solide qui voudrait venir faire une répète avec nous. Il se trouve que ça a collé, et Balls Out est né. Pierre – notre batteur donc – et Sony se connaissent depuis longtemps, ils sont potes d’enfance, et nous, avec Pat, c’est la même chose, donc c’est comme ça que le groupe s’est formé.
Pourquoi cet emblème de la bombe ?
La bombe s’appelle James en plus (rires). C’est notre petite mascotte qui collait bien avec la première partie du nom de notre groupe, « Balls ». Il signifie aussi qu’on est prêt à exploser, prêt à en découdre. Et on trouvait que ça faisait bien entre le « Balls » et le « Out » (rires). Donc on s’est dit qu’on allait le laisser là ! Sur le premier EP qu’on a sorti, il n’y avait pas de titre sur la pochette, il n’y avait pas le nom du groupe, mais il y avait James en gros dessus ! Et depuis c’est devenu notre mascotte : il va nous suivre tout le temps. On se l’est même tatoué sur le bras avec Pat, on le trouve cool (rires).
Trouves-tu qu’il est important de nos jours pour un groupe d’avoir une mascotte ?
Oui mais pour moi, cela n’est pas non plus indispensable. Beaucoup s’en passent très bien. Après, chaque groupe a son élément significatif : Kiss avec les maquillages, AC/DC ça va être les chanteurs à casquette, Iron Maiden avec Eddie … Chaque groupe trouve son symbole. Il faut trouver son truc qui se distingue.
Votre album « Let Me In (I Know Someone Inside) sort le 19 avril prochain. Vous avez sorti l’année dernière un EP. Pourquoi si peu de temps entre la publication des deux galettes ?
On a considéré l’EP comme une carte de visite : on voulait enregistrer quelques titres afin, notamment, de pouvoir se produire un peu plus facilement. Quand tu as quelque chose à faire écouter, de propre en plus, forcément ça marche mieux. De plus, l’EP nous a ouvert, le Hell Session et la première partie de Clutch. Du coup on était sur notre lancée, on était chauds, certains titres étaient prêts, d’autres ont été imaginés entre temps, et on avait envie de le faire. On s’est dit que, un an après c’était le bon moment. Et on a encore des chies à dire là, tout de suite. Donc on est encore en enregistrements.
Donc un deuxième album l’année prochaine ? (rires)
C’est dans nos têtes ! L’année prochaine je ne sais pas, peut être fin d’année mais là on va laisser un peu plus de temps car c’est un album. On va se concentrer sur quelque chose qui n’est même pas sorti encore (rires) (NDLR : l’interview a été effectué trois semaines avant la sortie de l’album) et faire sa promotion. Mais c’est dans un coin de nos têtes effectivement (rires).
Pourquoi ce titre « Let Me In (I Know Someone Inside) » ?
Tout bonnement parce que notre guitariste, Sony, était en vacances à Paris je crois et il a vu dans la vitrine d’une boutique une capote avec « Let Me In (I Know Someone Inside) » écrit à côté . Il nous a envoyé la photo du truc et on s’est tout de suite dit que ça ferait un super titre d’album (rires général) Nan nan, je te jure que c’est véridique ! Et il nous a pris en photo le truc et nous a dit « Les gars, je veux ça comme titre » ! De là est venue l’idée de la pochette où tu regardes dans l’oeil de boeuf/le judas, avec nos quatre sales tronches derrière. C’est venu de là. On peut le comprendre de plusieurs manières différentes : pour certains, c’est le groupe qui sillonne l’entrée des clubs qui supplie les propriétaires de les laisser jouer. Pour nous, ça parle d’une fille.
ça change des groupes qui cherchent une explication philosophique cette réponse ! (rires)
Il n’y a rien de réellement philosophique chez nous ! (rires)
La photo de l’artwork n’a pas été trop galère à prendre ?
Au contraire, c’était plutôt marrant ! On avait pris un objectif Fisheye, du coup il fallait faire attention à tout, il fallait que ce soit bien haut ! On a essayé pleins de gueules différentes. Et notre choix s’est porté sur celle-là car tu vois Pat avec son regard malsain et son doigt sur la sonnette. Et puis quand on l’a vu on a tout de suite été conquis. ça a donné lieu à de bonnes tranches de rigolades.
Tu l’as dit plus haut, vous vous êtes retrouvés en première partie de Clutch ! Comment vous vous êtes retrouvés sur cette date prestigieuse ?
Le groupe qui accompagnait Clutch était The Inspecteur Cluzo. Et ils ne pouvaient pas faire cette date à l’Elysée Montmartre. Grâce à NeoMusic, notre nom a été proposé. Et on a été retenu, c’est tombé sur nous! Donc c’était super car on adore Clutch et la salle est superbe. En plus le concert était complet ! On était ultra contents.
Beaucoup de groupes redoutent de faire des premières parties aussi prestigieuses, en raison de fans que je qualifierai d’ « hardcore » qui n’hésite pas à huer ?
On s’est dit que ce n’était pas parce que des gens venaient voir exclusivement Clutch à la base qu’ils ne pouvaient pas apprécier notre musique. Et effectivement l’accueil du public a été vraiment cool : on a eu de bons retours, c’était vraiment super.
Est-ce que vous avez pensé à vous inscrire à des concours cette année genre crochets pour aller sur un festival ?
On avait fait l’année dernière « The Voice Of Hell », sans avoir la victoire. C’est vrai que cette année nous ne l’avions pas fait car on a été bien occupé par cet album et par l’organisation de notre tournée. J’espère cependant le faire l’année prochaine : le Motocultor, le Hellfest, le Raismefest …. Pourquoi pas ! Ce sont des rêves ! Mais on verra comment évolue la chose.
Vous êtes né en 2016 et vous avez pas mal de succès à votre actif. Vous vous attendiez à un tel engouement ?
Pas forcément non car il y a encore quelques années de ça nous étions encore spectateurs. A aucun moment, il y a cinq ou six ans de ça, je ne m’imaginais jouer sur scène en première partie de Clutch ou avec Norbert Krief à côté de moi ! C’est vrai que si on m’avait dit ça, j’aurai vendu la guitare – trop de pression – (rires). Mais c’est vrai qu’on ne s’y attend pas, et ça fait plaisir. Et quelque part, c’est une petite fierté dans un sens car tu te dis que c’est ton projet, que tu as monté toi-même de tes petites mains, et en tout cas là où on est maintenant, on est ultra contents. Forcément, quand tu es musicien, tu espère secrètement que ce que tu fais plaise et fonctionne. Mais c’est tellement aléatoire, surtout en ce moment avec internet et le digital : il y a un bon montants de groupes maintenant. On arrive aujourd’hui à sortir, un peu, notre épingle du jeu.
Vous vous définissez comme étant du hard rock’n’roll. Est-ce que la musique, pour vous doit être plus spontanée, moins complexe et tarabiscotée comme de nombreux groupes le voudraient ?
Pour nous, la musique, c’est comme une fête. Nous on s’éclate, que ce soit en studio, sur scène ou en répète. On amène beaucoup d’auto-dérision, comme tu as pu le voir avec la pochette, tout ça. C’est comme ça qu’on voit les choses : une grosse poilade. C’est comme ça qu’on fonctionne. On n’a pas le niveau de faire du prog, on a la flemme. (rires) Le hard rock, ça se veut court et percutant.
Que peut-on vous souhaiter pour l’avenir ? Que les gens écoutent Balls Out très fort ?
C’est ça ! Mais attention on a cassé un ampli en écoutant l’album fort (rires).
Un dernier mot ?
Ecoutez Balls Out ! Si vous ne nous connaissez pas, écoutez-vous ! Si vous nous connaissez déjà, écoutez-nous aussi ! On espère que l’album vous plaira et que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter que nous on l’a eu à l’enregistrer ! Et n’hésitez pas à venir nous voir en concert et à boire des bières avec nous, on ne demande que ça !
Fleshgod Apocalypse : Nouvelle lyric-vidéo !
Les Fleshgod Apocalypse sortiront « Veleno », leur nouvel album, le 24 mai prochain via Nuclear Blast ! Le groupe vient de mettre en ligne un nouvel extrait, « Carnivorous Lamb » via la lyric-vidéo ci-dessous :
Trackist :
01 – Fury
02 – Carnivorous Lamb
03 – Sugar
04 – The Praying Mantis’ Strategy
05 – Monnalisa
06 – Worship And Forget
07 – Absinthe
08 – Pissing On The Score
09 – The Day We’ll Be Gone
10 – Embrace The Oblivion
11 – Veleno
12 – Reise Reise (Rammstein Cover) (Bonus Track)
13 – The Forsaking (Nocturnal Version) (Bonus Track)
Tracklist « An Evening In Perugia » (Bluray Bonus live en Italie) :
01 – Marche Royale
02 – In Aeternum
03 – Healing Through War
04 – Cold As Perfection
05 – Minotaur (The Wrath Of Poseidon)
06 – Gravity
07 – The Violation
08 – Prologue
09 – Epilogue
10 – The Fool
11 – The Egoism
12 – Syphilis
13 – The Forsaking
[INTERVIEW] Alex Wade (Guitare) : « Nous n’avions pas prévu de concept-album à la base »
Quitte à s’attirer les foudres de leurs fans, les Whitechapel ont sorti ce week-end un nouvel album très personnel, « The Valley », inspirée de l’enfance chaotique de Phil Bozeman, chanteur de la formation. Un ensemble chaotique qui divisera autant qu’il enthousiasmera. Le guitariste du groupe, Alex Wade, nous en parle un peu plus longuement.
Metal-Actus : Le sujet de « The Valley » est bien particulier, puisqu’il évoque à plusieurs reprises l’enfance de Phil Bozeman. Qu’Est-ce qui vous a amené à choisir ce sujet difficile ?
Alex Wade (guitare) : Ce n’était absolument pas prévu à la base, qu’on fasse un concept-album. D’ailleurs, on a procédé comme d’habitude, à savoir qu’on a composé les morceaux avant de mettre des paroles dessus. On ne s’attendait pas à voir Phil venir avec des textes vraiment très personnels !
Peux-tu dire que vous êtes fiers de cet album ?
Oh que oui ! Il est très personnel pour nous et en particulier pour Phil, et avec son histoire, on a l’impression d’avoir, en quelque sorte, une valeur ajoutée. Il fait passer un message percutant. C’est une dynamique toute nouvelle pour nous !
« The Valley » contient le plus de voix claires. Comment êtes vous arrivés à ce choix ?
Cela s’est fait le plus naturellement du monde : on ne voulait, dès le départ, pas limiter notre musique sur un seul genre de musique, voire un seul genre de chant. Je dirais que c’est une progression naturelle qui suit l’évolution de Whitechapel.
« Third Depth » est très semblable à certains titre de Tool. Le groupe est-il une source d’inspiration pour vous ?
C’est flatteur ! Nous avons tous grandi en écoutant Tool, en se rêvant aussi grands qu’eux un jour ! Mais oui, ce morceau, avec son riff de guitare, la manière dont Phil chante, instaure une atmosphère qui plaira aux fans du groupe. Il a donc son petit charme toolien (rires).
Tu l’as dit toi-même, « The Valley » est un concept-album…. Pourquoi alors avoir choisi de révéler « Brimstone » en tant que premier single ?
Nous ne voulions pas tout donner d’un seul coup aux fans ! Nous avons annoncé la sortie de « The Valley » il y a six mois et « Brimstone » est sorti il y a trois mois environ. Ce titre est pour nous celui qui représente le mieux l’album : très heavy, à la manière de nos vieux morceaux. « Brimstone » est donc la transition parfaite entre les deux ères de Whitechapel.
Que peux-tu nous dire sur « Hickory Creek » ?
C’est une chanson triste, sauvage, qui sonne assez européenne. Elle véhicule toutes sortes d’émotions, dont l’espoir. On voulait, qu’en l’écoutant, on se sente comme à la maison.
Que peux-tu nous dire sur « Lovelace » ?
C’est une chanson que j’ai composé ! Nous étions en train de jammer sur la fin de l’enregistrement, et on s’est dit « tiens, ça ferait un bon morceau »! (rires) « Lovelace » a donc été ajoutée en dernier ! Nous avons eu beaucoup de mal à poser des paroles dessus, du coup, le morceau a subi plusieurs réarrangements musicaux.
Que représente cet oeil sur la pochette de votre album ?
Il s’agit du regard que Phil, enfant, posait sur sa mère. Il a vécu de nombreuses choses, certaines assez traumatisantes. Elles ponctuent tout notre album.
Depuis la sortie de votre précédent album « Mark Of The Blade », en 2016, beaucoup vous critiquent en disant que vous êtes devenus trop « doux ». Vous avez un mot à leur adresser ?
Un artiste devra forcément s’éloigner de ce qui a fait son succès en premier lieu. C’est une question d’évolution. Nous aimons et nous croyons en nos fans qui nous suivent et nous soutiennent depuis le début de Whitechapel. Nous n’avons que faire des critiques, tant que nous aimons ce que nous faisons.
Un dernier mot ?
N’hésitez pas à jeter une oreille à notre nouvel album ! J’espère qu’il vous plaira. Et à bientôt en concert !
Hell Of A Ride : Nouveau clip !
Les Hell Of A Ride ont diffusé un nouveau clip intitulé « Echoes ». Un nouvel album devrait faire son apparition cette année !